Tu accouches dans quelques semaines et tu souhaites mettre toutes les chances de ton côté pour accoucher naturellement ? Tu trouveras dans cet article 10 grandes idées pour t’accompagner physiquement vers cet accouchement sans péridurale !
Le ballon de grossesse
Tu as envie de t’asseoir mais tu as aussi envie d’accoucher bientôt ? Le ballon de grossesse peut devenir ton nouveau meilleur ami ! Tu peux faire des mouvements de balancier de gauche à droite, puis d’avant en arrière, avec différentes amplitudes. Tu peux également pousser le ballon contre le mur avec le bas de ton dos pour apaiser la zone lombaire à chaque contraction.
La marche
Pour rester active et profiter de la verticalité de ton corps, rien de tel que la marche pour faire descendre ton bébé ! Pars à la découverte, ou bien la redécouverte de ton quartier (et de tes voisins :D) en longeant les trottoirs pour pratiquer le “curb walking” – un pied sur le trottoir, l’autre sur la route et en avant ! (et on inverse au bout de la rue). Cela favorise l’appui de la tête du bébé sur le col de l’utérus.
Le yoga prénatal
La pratique du yoga tout au long de la grossesse présente un véritable intérêt pour la maman et le bébé à naître. Cette activité sportive va te permettre de continuer à tonifier tes muscles, favoriser la circulation sanguine, et donc limiter la rétention d’eau en favorisant la mobilité du corps. Tu vas également pouvoir à cette occasion rencontrer des futures mamans de ta ville !
Le travail sur la respiration
Pratiquer un travail sur son souffle et sa respiration est très intéressant tout au long de la grossesse. Chercher à allonger son souffle, à créer de l’espace entre son diaphragme et son bébé sont des exercices intéressants car ils permettent à la futures maman de créer sa bulle. Il convient de chercher une respiration profonde, allongée, rythmée par une inspiration par le nez et d’une longue expiration par la bouche (bouche molle, épaule baissée, corps détendu et yeux fermés). Plus encore, la vocalisation de sons graves pendant l’expiration peut contribuer à aider la descente du bébé.
L’homéopathie de fin de grossesse et de travail
Avec l’aide d’une naturopathe, tu peux mettre en place ton kit de survie Homéopathie du dernier mois de grossesse et Homéopathie de travail. Il est très fréquemment recommandé de suivre les posologies suivantes pour préparer ton corps à l’accouchement (tout au long de ton dernier mois de grossesse):
Le matin au réveil : 5 granules d’Actea Racemosa en 9CH.
Le soir avant de vous coucher : Gelsemium 12CH et Arnica Montana 12CH, 5 granules de chaque.
En cas de tiraillements dans le bas du ventre et du dos : 5 granules de Ruta graveolens 5CH une à deux fois par jour selon l’intensité.
Si tu préfères te simplifier la vie en ne prenant qu’un seul produit, tu peux opter pour la préparation homéopathique C171 de Weleda, qui prépare l’utérus à l’accouchement, à raison de 3 granules le matin pendant le dernier mois de grossesse, puis 3 granules tous les quarts d’heures dès le début du travail.
L’acupuncture
L’acupuncture peut être d’un grand secours pendant les premiers mois de grossesse (pour soulager les maux du premier trimestre notamment) mais également utile dans le dernier mois de grossesse pour aider à la mise en route naturelle du travail. Il est fréquemment recommandé de réaliser deux à trois séances d’acupuncture dans le dernier mois de grossesse (début, milieu et fin du 9ème mois). La date de terme approchant, l’acupuncteur peut mobiliser davantage de points précis pouvant donner un coup de pouce à la nature. Les effets sont généralement perceptible dans les 48 heures suivant la séance (démarrage des contractions, début de la dilatation du col, fissure partielle ou franche de la poche des eaux par exemple). A lire : mon témoignage Acupuncture à 39 SA.
Le massage du périnée et les câlins
Favorisant le bien-être et la détente de la maman, du papa et du bébé, les massages corporels (dos, jambes, périnée) et les câlins devraient être prescrits sur ordonnance dès le début du neuvième mois :D. Ceux-ci facilitent également le démarrage spontané et naturel du travail grâce à la production d’ocytocine.
L’acupression
Dans la même logique que l’acupuncture, la mobilisation de certains points précis du corps pendant le dernier mois de grossesse, peut contribuer à démarrer le travail spontanément. La stimulation de ce point pendant au moins 5 minutes par jour peut te permettre de mettre toutes tes chances de ton côté et éviter un déclenchement (point : Hoku/Hegu/Gros intestin 4).

Les tisanes de feuille de framboisier et les dattes
La feuille de framboisier a un effet tonifiant sur l’utérus, ce qui va rendre les contractions plus efficaces le jour de l’accouchement. Sauf contre-indication, tu peux prendre 2 tasses par jour à partir de la 37ème SA et continuer jusqu’à l’accouchement.
Les dattes contiennent une grande quantité de vitamines et de minéraux (fer, calcium, potassium, magnésium, vitamines A, B1, B2, B6, B9, beta-carotène et acide folique…) reconnues pour réduire le stress et la tension. Celles-ci produiraient des effets similaires à celui de l’ocytocine produite par le corps et faciliteraient ainsi l’efficacité des contractions de l’utérus. Manger 6 à 8 dattes par jour le dernier mois de grossesse peut favoriser le travail et éviter les déclenchements médicalisés.
Les huiles essentielles de Palmarosa et Girofle
Ces huiles sont à diffuser au moment de la mise en route du travail ou bien à appliquer sur le bas du dos (quelques gouttes à mélanger avec une base d’huile végétale). Attention, ces huiles ne doivent pas être utiliser à n’importe quel moment de la grossesse.
Tu trouveras dans cet article des astuces pour te préparer mentalement à l’accouchement physiologique sans péridurale.
Bonne préparation à toi !
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Apprendre à exprimer son lait manuellement : la bonne idée !
Tu allaites déjà ou tu envisages d’allaiter ? Tu as entendu parler du fait que l’on peut exprimer son lait à l’aide de ses mains, sans tire-lait ? Sache que cette méthode recèle de nombreux avantages. Quelles avantages et comment faire ?
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Tu abordes le neuvième mois et tu te demandes si tu as des chances d’accoucher cette semaine ?
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Dernier mois de grossesse : préparation complète à l’accouchement physiologique
La fin de ta grossesse approche et tu cherches à te préparer au mieux à l’accouchement physiologique ou l’accouchement naturel ? Tu trouveras dans cet article 16 moyens de préparer au mieux ton mental, ton corps et ton environnement à l’accouchement sans péridurale.
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Quelles sont mes chances d’accoucher entre 39 SA et 40 SA ?
Tu entames la deuxième moitié de ton 9ème mois (entre 39 SA et 40 SA) et tu attends toujours que ta petite princesse ou ton petit prince pointe le bout de son nez ?
Quelles sont mes chances d’accoucher entre 40 SA et 41 SA ?
Tu commences la dernière semaine de ton 9ème mois et tu te demandes si tu vas accoucher un jour ? La réponse est OUI forcément ! D’un point de vue statistique, le jour des 40 SA, 60% des bébés sont déjà sortis de leur nid douillet. Et après cela ?
Quelles sont mes chances d’accoucher entre 41 SA et 42 SA ?
Tu approches des derniers jours de ton 9ème mois et tu te demandes quand bébé pointera (enfin!) le bout de son nez ? Les derniers jours paraissent très longs et fatigants mais ne t’inquiète, tu n’es pas seule !
Allaitement et pleurs de bébé
Les premiers mois et la première année de vie, votre bébé utilise principalement les pleurs pour exprimer ses besoins.
Allaiter pendant une grossesse : A quoi s’attendre ?
Vous venez de découvrir une nouvelle grossesse alors que vous allaitez ? Tout d’abord félicitations ! Pas de panique, lors d’une nouvelle grossesse, un allaitement peut se poursuivre. Dans le cas où la maman mange équilibré et sans carence : il n’y aura ni manque, ni carrence pour le foetus en développement ou le bébé…
Qu’est-ce qu’un allaitement non écourté ?
La mère et le bébé pourront désirer poursuivre la conduite de l’allaitement, plus ou moins longtemps en fonction des composantes de cet allaitement et des envies du duo maman/bébé. Les aliments solides, progressivement incorporé dans l’alimentation viendront alors compléter l’allaitement. L’allaitement peut rester la première source nutritionnelle …